Le nouveau clip pour le titre Les Appalaches est sorti, il a été réalisé et dessiné par Johanna Hand une jeune artiste au talent évident, voici ses mots à propos de son travail :
J’ai écouté ce morceau, croisé par hasard, durant deux ans. Ses couleurs, le texte, les accords, je me sentais chez moi. Lorsque des amis venaient à la maison et que Les Appalaches se jouait dans mon salon, je leur disais “Écoute ce morceau. Un jour j’en ferai une photo à offrir à l’auteure. Un jour, je travaillerai sur ses notes”. Bien plus tard, je postais le visuel de ma bannière web sur mon réseau social, et recevais un retour … “Bonjour, j’aimerais bien un visuel … Signé Catherine Watine”.
Le visuel est devenu un clip pour l’album Atalaye. J’ai eu la possibilité de choisir ce titre en particulier, et de l’illustrer dans la plus grande liberté de choix, un vrai cadeau à mon souhait.
Et un lien pour découvrir son univers :
→ http://intramorphizme.canalblog.com/archives/2015/10/19/32797639.html
Ils en parlent !
→ Benzine Magazine – Denis Zorgniotti : Nouvel extrait d’Atalaye, le nouveau disque en français de Watine. Une nouvelle occasion de plonger dans l’univers étrange et pénétrant de la Française. Réalisation (vidéo et dessins) par Johanna HAND.
→ Indiepoprock – Yan Kouton : De somptueuses images, illustrant la douceur, la subtilité, mais aussi la pointe d’amertume de cette chanson. Aérienne et délicate. Issue de l’album Atalaye. Disque charnel, organique, envoûtant.
→ Soul Kitchen (Le Son du Jour) – Gui Mauve : Un voyage intérieur et organique où se mêlent nature et poésie, dessins et pétioles, bâtissant peu à peu les nervures d’un monde féerique réalisé par la main verte de Johanna Hand.
→ Indiemusic – Raphaël Duprez : En un peu plus de quatre minutes, Watine et Johanna Hand explorent ensemble ce rêve que le sommeil qui naît dans Les Appalaches vient doucement bercer. Des mots inconscients apparaissent furtivement et accompagnent l’errance de la musicienne dans des contrées sauvages, où le noir et blanc épouse le songe et le destin constamment recherché, celui qui est à portée de main mais que l’on ne fait qu’effleurer.