Quand l’automne s’annonce, je reprends ma plume, et quand le monde va mal et que je ne vais pas très bien non plus, je reprends doublement ma plume car je sais qu’elle rêve d’écrire.
Je pensais aux névroses malicieuses d’Albert Einstein et aux montagnes russes qui n’ont dû cesser d’envahir son esprit trop petit pour son esprit, et j’ai eu envie de l’interpeller.